" Céline est le poète de l'abjection. De l'abjection et de la mort... Il y avait chez Céline un visionnaire et un pamphlétaire, un moraliste et un voyou, un poète et un éboueur. Sartre supposait, bien à tort, que Céline était "payé"...Céline, évidemment, n'était pas payé. C'était un cavalier de l'Apocalypse. Il avait beaucoup souffert: il était passé par "douze métiers, treize misères", et la "vacherie universelle" s'était exercée sur lui. Il était fou et pur. Un mélange explosif."
Jean d'Ormesson, Une autre histoire de la littérature française, éditions Nil.
Il dit pas que des conneries ce d'Ormesson.
RépondreSupprimermême les contradicteurs ont du mal à démolir Céline.
Normal c'est un maître, trop puissant.