"Le Docteur Destouches serait un beau titre de roman et la place qu'y occuperait le médecin ne serait ni médiocre, ni banale - le docteur des pauvres était un vrai docteur, non un amateur - . J'ai pénétré dans l'intimité du praticien quand il a soigné mes enfants et, plus tard au milieu de ses malades, au dispensaire de Clichy... Une patience, une bonté, une gentillesse infinies, jamais découragées. Ceux qui jugent Céline uniquement d'après la véhémence de ses pamphlets ne peuvent imaginer l'homme de qualité, le soigneur qu'il était, parfaitement simple et parfaitement bon."
Lettre d'André Pulicani.
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