"Après tout, qu'il dépeigne sa gêne sous les couleurs de la misère la plus totale et qu'il dissimule certains détails aussi maladroitement qu'un enfant naïf, qu'importe ces mensonges puisqu'il nous a donné Mort à crédit."
Arletty à propos de Louis-Ferdinand Céline, cité par P. Monnier dans Ferdinand Furieux.
Photo : Céline et Arletty à Meudon en 1958.
Je suis un célinien convaincu et suis très heureux de découvrir un blog comme le votre. Je me suis décidé à relire tout Céline et je viens de créer un blog le concernant. J'espère vous lire et approfondir les oeuvres de cet auteur immense et détesté.
RépondreSupprimerRavi de vous compter parmi les lecteurs du Petit Célinien.
RépondreSupprimerJe suis tombé sur votre site il y a peu... on rappelle l'adresse aux lecteurs :
http://polarsnumber6.wordpress.com/
Merci à vous. Sympa votre bulletin. Très complet.
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