Erratum - Sortie en juin d'un polar autour de Louis-Ferdinand Céline
L'auteur du polar autour de LF Céline dont la parution est prévue pour juin n'est pas David Alliot comme on vous l'annonçait il y a quelques jours mais Emile Brami.
Emile Brami a un grand talent d'écriture. C'est déjà ça que d'autres n'ont pas. Mais ci et là, sous quelque nom que ce soit, le commerce, c'est le commerce, et Céline ça rapporte à certains, à ceux qui ont le sens du commerce. Les autres n'ont qu'à sortir de leurs idéaux de chercheurs intellos. Les Barnums l'emporteront toujours sur les vrais artistes, les commerciaux sur les artisans...
Y a juste un choix à assumer. Commerçant ou artiste.
Etre une ombre qui brille comme de l'or, ou une étoile qui reste dans l'ombre et qui servira de matière première aux commerçants.
Moi je ne tranche pas, car je me dis qu'il faut les deux. C'est dans l'acte d'écrire qu'il faut trancher.
Et en somme, au final, tu dis que Brami est plus un commerçant qu'un bon écrivain (une seule fois le mot "écriture" et quatre fois le mot "commerce" - un donné pour quatre rendu, trois de bénèf, en effet, Brami est bien un flaireux des affaires. Sauf que c'est pas toujours un compliment en écriture. M'enfin, les gens maintenant ils aiment bien le côté "bien vendu", ça fait effet de foule...
Brami et Céline, ce n'est pas de l'ironie, c'est un paradoxe, une contradiction, et comme dit Céline, seules les condradictions sont vivantes. Brami est un artiste, il suffit de l'avoir lu pour le reconnaître, mais l'art aujourd'hui sans mécène, faut trouver, sinon : étoile qui reste dans l'ombre comme tu dis si joliment.
Brami et Céline, l'ironie de l'Histoire !...
RépondreSupprimerEmile Brami a un grand talent d'écriture. C'est déjà ça que d'autres n'ont pas. Mais ci et là, sous quelque nom que ce soit, le commerce, c'est le commerce, et Céline ça rapporte à certains, à ceux qui ont le sens du commerce. Les autres n'ont qu'à sortir de leurs idéaux de chercheurs intellos. Les Barnums l'emporteront toujours sur les vrais artistes, les commerciaux sur les artisans...
RépondreSupprimerTous au commerce ? C'est ça ?
RépondreSupprimerY a juste un choix à assumer. Commerçant ou artiste.
Etre une ombre qui brille comme de l'or, ou une étoile qui reste dans l'ombre et qui servira de matière première aux commerçants.
Moi je ne tranche pas, car je me dis qu'il faut les deux. C'est dans l'acte d'écrire qu'il faut trancher.
Et en somme, au final, tu dis que Brami est plus un commerçant qu'un bon écrivain (une seule fois le mot "écriture" et quatre fois le mot "commerce" - un donné pour quatre rendu, trois de bénèf, en effet, Brami est bien un flaireux des affaires. Sauf que c'est pas toujours un compliment en écriture. M'enfin, les gens maintenant ils aiment bien le côté "bien vendu", ça fait effet de foule...
Brami et Céline, ce n'est pas de l'ironie, c'est un paradoxe, une contradiction, et comme dit Céline, seules les condradictions sont vivantes. Brami est un artiste, il suffit de l'avoir lu pour le reconnaître, mais l'art aujourd'hui sans mécène, faut trouver, sinon : étoile qui reste dans l'ombre comme tu dis si joliment.
RépondreSupprimer