Le Petit Célinien n°41:Épuisé
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Le Petit Célinien n°41 - Semaine du 15 mars 2010.
Au sommaire:
- Le refuge dans Voyage au bout de la nuit
- En images...
- Bébert, un lutin de gaîté
- Pléiade's band par David Alliot
- A paraître : Massacre pour une bagatelle
- Lectures
Pléiade's band ? ou Guignol d'Alliot ? Il ne sait pas encore que les Ballets ont été publiés (en 1988) par Gallimard dans la collection des Cahiers Céline sous le titre Oeuvres pour la scène et l'écran (n°8)... Il ne sait pas encore que les pamphlets interdits par la veuve s'achètent beaucoup plus sur les quais de la Seine ou chez les libraires de livres anciens que dans "les arrières-boutiques des librairies d'extrême-droite" dont Alliot connaît sans doute mieux que nous les adresses. Fort beau de poser à celui qui sait ! de nous dire à propos du Pléiade Correspondance que "l'appareil critique souffre de quelques approximations de transcriptions"... Ça pose son homme ce genre de remarque ! ça fait bien, c'est gratuit ! Mais un exemple ? deux, trois ? Ça ne veut rien dire ! Vu que les "transcriptions" concernent la transcription des lettres et non l'appareil critique qui explicite si besoin est la transcription. Sans doute Monsieur Alliot a-t-il été un peu vexé de voir ses propres transcriptions de lettres, publiées par lui-même comme "inédites" , reprises et corrigées dans ce Pléiade à partir des originaux... Les guignoleries de Monsieur Alliot,elles, ne sont pas originales. Son dernier mot fait sourire. Il cause commerce... lui qui ne pense qu'à ça ! qui vendrait des caleçon à l'effigie de Céline...
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ces commentaires... faut qu'ça swingue... tellement plus drôle...
RépondreSupprimerCher A.Nonyme que je reconnais bien. Comment se porte votre schizophrénie?
RépondreSupprimer1° Je sais bien que les ballets ont été publiés dans les Cahiers Céline (et même réédités dans la collection "Imaginaire" Gallimard) Mais je parlais de la Pléiade... Avant de hurler, faut lire l'article...
2° Je sais bien que les pamphlets s'achètent sur les quais, mais les copies (moins chères que les originaux) se trouvent dans les arrières boutiques des librairies d'extrême-droite. Et quand j'utilise cette expression, c'est une métaphore...
3° M. Alliot n'est pas "vexé" de voir que les lettres à Empaytaz ont été publiées. Les éditeurs les avaient en leur possession, mais c'est moi qui les ai éditées dans le "Céline à Bezons" car, comme vous le savez, j'ai retrouvé le fils Empaytaz, et le témoignage de son père.
4° Je n'ai aucun problème avec les erreurs de transcriptions. C'est normal qu'il y ait des interprétations différentes. Il faut rester humble devant les textes. Je n'ai pas la vérité divine, les autres non plus.
5° Parler commerce... Je comprends pas... Je répondrai comme Céline, si j'étais motivé par l'argent, je n'aurais pas écrit une ligne... Tous les livres que j'ai écrit étaient motivés par le plaisir de faire des (beaux) livres, qui intéresseraient le lecteur. Si, cher ami, vous avez des problèmes avec ça, je vous introduirais dans plusieurs maisons d'édition qui seraient intéressées par vos écrits, et vous vous rendrez compte que publier des livres prend du temps, et ne rapporte jamais ce que l'on a investi... Et le seul livre ou j'ai gagné un peu d'argent est un livre qui n'est pas consacré à Céline...
Faut réfléchir avant de râler Mister Nonyme.
Nonyme AAAA (comme les andouillettes de bonne qualité), tout schizophrène qu'il est (et comment ne pas l'être quand on aime Céline ?), n'a nul besoin d'être introduit dans une maison d'édition pour découvrir la grande truanderie dénoncée par Céline, mais aimerait savoir pourquoi les lettres à Empeytaz se trouvaient déjà aux 4/5e dans la biographie de Me Gibault, et qui est ce "Louis Decoin", cinéaste, "grand ami de Céline", évoqué par Monsieur Alliot sur Radio Courtoisie... Est-ce Henri Decoin, Louis Lecoin, Louis Decoin... quel coin-coin ? beau canard !
RépondreSupprimerles canards volent bas cette année
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