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Ah ! alors les affaires reprennent ? Celine's business ?
RépondreSupprimerEspérons que le catalogue ne caviardera pas trop de lettres inédites, et que les libraires en feront des photocopies avant de les disperser, pour les communiquer aux chercheurs (n'en déplaise à M. Thyssens, et aux collectionneurs d'autographes "virtuellement dépossédés de leurs acquisitions").
Ras le bol des chercheurs.Et le plaisir des collectionneurs...
RépondreSupprimerRas le bol des cinquantenaire, centenaire, prétextes, comme la fête des grands-mères, à faire dépenser du fric aux gogos nez de veau !
RépondreSupprimerQuant aux chercheurs, qu'est-ce qu'ils trouveraient les chercheurs, sans les collectionneurs ? Le chercheur, il cherche souvent à se faire connaître, avant tout et par dessus tout ! Il dit comment il faut lire Céline et pas autrement que lui ! lui, si intelligent, si cultivé, si tout...
Le collectionneur se passionne au moins pour l'objet en soi, lui, pour la pièce manquante, inconnue du chercheur. Les chercheurs bavardent, pérorent, dialectisent, s'écoutent... le collectionneur se dépense et dépense, cherche, fouille, trouve ! il a droits à bien des égards...
Ou peut on avoir un aperçu de la valeur des lettres ? Ou des écris des derniers livres ?
RépondreSupprimerUn lecteur va bien nous éclairer...
RépondreSupprimerEffectivement, il est très difficile d'avoir une idée de la valeur de ces lettres et de ces écrits. Il est sûr que les toutes dernières phrases en ont plus.
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