jeudi 19 août 2010

Louis-Ferdinand Céline : Café littéraire animé par Fabrice Pras

Café littéraire sur l'oeuvre de Louis-Ferdinand Céline animé par Fabrice Pras, professeur de lettres, à la bibliothèque Le Clos Saint-Louis à La Seyne-sur-Mer, le 29 mai 2010. Contact : fabricepras@hotmail.com.

Partie 1:



Suite :







8 commentaires:

  1. Un festival de contre-vérités, poncifs et autres fadaises. Ce professeur montre une absolue incompréhension de l'oeuvre et du personnage de Céline, plus grave encore, fait preuve d'une absence totale d'amour de la littérature

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  2. Je suis l'auteur du premier message, et tiens à préciser que ce site nous offre tant d'étincelantes pépites que l'on ne peut lui reprocher de dénicher, parfois, quelques vilains cailloux.

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  3. Moi personnellement j'ai beaucoup aimé ! C'est très intéressant.

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  4. si l'espace est un peu austère il ne s'en trouve pas moins rempli d'une parole qui suscite l'intérêt. Merci donc, pour ce partage de littérature, je m'en vais relire mort à crédit...

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  5. C'est une lecture de Céline qui me semble intéressante, dans un cadre peu évident de questions / réponses auprès d'un auditoire qu'il faut prendre en compte...
    Il est certain que la "psychologie" de cet auteur, le "personnage" Céline attisent les débats et offrent de multiples approches, potentiellement contradictoires.
    Je suis cependant choqué de la violence de ces commentaires anonymes, peu constructifs et exagérément agressifs.
    Il est certain que l'on peut être en désaccord avec certaines interprétations (morcelées cependant dans ce montage vidéo), certaines expressions, ici qualifiées de "vilains cailloux". Mais ces termes si péjoratifs évoquent une citation de Céline, qui nous rappelle que s'il faut être prudent face au sens des mots que l'on lit, il faut l'être encore davantage avec ceux que l'on écrit.

    « Des mots, il y en a des cachés parmi les autres, comme des cailloux. On les reconnaît pas spécialement et puis les voilà qui font trembler pourtant toute la vie qu’on possède, et tout entière, et dans son faible et dans son fort… C’est la panique alors… Une avalanche… On en reste là comme un pendu, au-dessus des émotions… C’est une tempête qui est arrivée, qui est passée, bien trop forte pour vous, si violente qu’on l’aurait jamais crue possible rien qu’avec des sentiments… Donc on ne se méfie jamais assez des mots, c’est ma conclusion »

    Céline, Voyage au bout de la nuit

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  6. Bien caché sous son masque, le courageux "Anonyme" jette son médiocre venin. On sent bien ses envies élémentaires d'absolu ("absolu", "grave", "totale"). Ces commentaires brutaux et injustifiés sont le signe même de l'esprit simple.

    Ta flagrante bêtise, petit Anonyme planqué, fait pâle figure devant la démonstration intelligente et nuancée de M.Pras.

    Vas-y Anonyme, retourne dans la boue épaisse de ta simplette ignorance, fais-y ton lit, pourvu que tu croupisses dans ton propre venin.

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