Qui ne possède pas dans sa bibliothèque toutes les Années Céline publiées par J.P. Louis depuis 1990, le Dictionnaire des personnages de Richard, Céline et la chanson de Ferrier ou le Cuirassier blessé de Bastier, les Lettres à Canavaggia, publiés par ces éditions du Lérot, ne peut se prétendre intéressé par l'oeuvre de Céline. Pas de ces publications qu'on ne lit qu'une fois, mais ouvrages qu'on peut lire et relire, utiles à toute recherche... Dommage que Louis ne dise pas à combien il tire chacun de ces ouvrages. On comprendrait mieux certaines choses. Le nombre de vrais céliniens, ceux qui veulent enrichir leur lecture de Céline et non ceux qui paradent sur les tréteaux ou passent à la radio en se parant de son nom. Toujours estomaqué d'apprendre que tel ou tel chercheur, professeur, thésard, admirateur, collectionneur - et il y en a plus qu'on ne croit !- n'a pas ces livres chez lui ou ne les a pas lus...
Très bon petit film,avec un style,une ambiance intimiste;ça ressemblerait presque à du Bergman!c'est pas franchement gai,mais c'est très bien réalisé. Dommage que ce soit si court.On voudrait en savoir plus sur la fabrication,la distribution,connaître mieux les personnes... Bravo le petit célinien y'a du progrès!
Je crois que les tirages de L’Année Céline plafonnent généralement à 600 exemplaires. On sent à sa manière de travailler que JPL a été libraire d’abord : volumes non massicotés, papier cristal, etc. Un plaisir de bibliophile. Mais je proteste quand il déclare que c’est moins fatigant de vendre des livres anciens que d’en fabriquer de nouveaux : les temps ont changé depuis La Flûte de Pan ! sacré JPL !
Qui ne possède pas dans sa bibliothèque toutes les Années Céline publiées par J.P. Louis depuis 1990, le Dictionnaire des personnages de Richard, Céline et la chanson de Ferrier ou le Cuirassier blessé de Bastier, les Lettres à Canavaggia, publiés par ces éditions du Lérot, ne peut se prétendre intéressé par l'oeuvre de Céline. Pas de ces publications qu'on ne lit qu'une fois, mais ouvrages qu'on peut lire et relire, utiles à toute recherche... Dommage que Louis ne dise pas à combien il tire chacun de ces ouvrages. On comprendrait mieux certaines choses. Le nombre de vrais céliniens, ceux qui veulent enrichir leur lecture de Céline et non ceux qui paradent sur les tréteaux ou passent à la radio en se parant de son nom. Toujours estomaqué d'apprendre que tel ou tel chercheur, professeur, thésard, admirateur, collectionneur - et il y en a plus qu'on ne croit !- n'a pas ces livres chez lui ou ne les a pas lus...
RépondreSupprimerTrès bon petit film,avec un style,une ambiance intimiste;ça ressemblerait presque à du Bergman!c'est pas franchement gai,mais c'est très bien réalisé. Dommage que ce soit si court.On voudrait en savoir plus sur la fabrication,la distribution,connaître mieux les personnes...
RépondreSupprimerBravo le petit célinien y'a du progrès!
Je crois que les tirages de L’Année Céline plafonnent généralement à 600 exemplaires. On sent à sa manière de travailler que JPL a été libraire d’abord : volumes non massicotés, papier cristal, etc. Un plaisir de bibliophile. Mais je proteste quand il déclare que c’est moins fatigant de vendre des livres anciens que d’en fabriquer de nouveaux : les temps ont changé depuis La Flûte de Pan ! sacré JPL !
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