Ami de Léautaud ? Léautaud ne mentionne pas une seule fois le jeune chanteur dans son Journal où il consignait pourtant toutes les rencontres... Fatigue de Léautaud ? Ami de Léautaud? qui dans son Journal vitupère les Juifs avant et pendant l'Occupation, les rendant responsables de la défaite...Mais c'était un Journal intime... En 1998, année de la chanson Ferdinand, Pierre Perret a reçu le grand prix de la LICRA. Et puis, il a préfacé sans dégoût un livre d'extraits du Journal de Léautaud, extraits bien choisis. Tonton Archibald se cache sous quel nom ?
Au moins Pierre Perret a le mérite de chanter et de proclamer ses positions envers Céline. Il le fait, semble-t-il, avec sincérité. Donnons-lui au moins ce bénéfice du doute.
Oui, comme faux cul on ne fais pas mieux ! Quand a ses chansons de demago, elle n'ont plus rien a voir avec la qualité de celles qui ont fait son succes....Perret aurait il perdu humour et inspiration, pour n'avoir plus que des purges aux textes digne d'un rimailleur sans finesse a offrir a ses fans. Ou est donc passé le génie du tort boyau et tant d'autres petites merveilles....
Quel mérite de composer une chanson contre Céline ? Voie royale ! Sincérité ? Pourquoi pas ? Il est si sympa, Perret... Et il a écrit de si belles chansons. Et si drôles aussi. Bénéfice du doute ? Qui est l'accusé ? Pas Perret ! Né en 1934, Perret avait dix ans en 44, et il a commencé à lire du Céline en 1954, bien averti de la biographie du pamphlétaire. Au temps où il chantait au "Tord Boyaux", restaurant de la rue Saint-Jacques, il proclamait son admiration pour Céline. C'était vers 1955 -1960. Alors ? Alors ? Chercher la femme ?
Tiens! J’ignorais l’histoire du prix de la LICRA... Intéressant! En plus que Léautaud disait que : celui qui accepte un prix est une putain! Alors…Une femme, dites-vous? Hum! Le tribunal en tiendra-t-il compte?
Pierre PERRET est un arriviste de première catégorie qui sous ses airs bon enfant veut faire passer ses "bonnes idées" anti-racistes à condition de lui rapporter plus d'argent. Mais il ne veut surtout pas que cette mixité sociale lui soit infligée.
Il y avait les procès de sorcellerie. Il y a maintenant les procès en tartufferie. C'est le même puritanisme à la base.
Il y a des gens qui se font des sous ou du pouvoir en touillant dans le purin du «c'est toujours la faute des autres», c'est si facile. Pierre Perret aurait-il dû, chaque fois qu'il faisait une chanson sympa, reverser ses droits à une organisation charitable?
Pas sympa, Pierre Perret? C'est vrai qu'il a cafardé le chanteur des Platters qui exigeait, vers 1960, une jeune fille dans son plumard chaque nuit durant une tournée en Afrique du Nord («Laissez chanter le petit», 1989, Lattès). Par racisme, ou parce qu'il était choqué de ce genre d'abus de pouvoir? Il a tout de même chanté «Estelle» en 1979, à un moment où les LGBT n'avaient pas vraiment la cote.
Je ne connais pas personnellement ce chanteur, qui n'est pas non plus mon chanteur favori (loin s'en faut, son argot me semble un peu de pacotille), mais les procès doivent être bien instruits, sinon c'est de la calomnie. Une journaliste, Sophie Delassein, l'a appris à ses dépens.
Avant 1975, Pierre Perret, sur les ondes, déclarait ne lire que du Céline...
RépondreSupprimerÀ ce qu'il parait, il aurait été un très bon ami de Paul Léautaud... Enfin, c'est qui lui qui le dit.
RépondreSupprimerAmi de Léautaud ? Léautaud ne mentionne pas une seule fois le jeune chanteur dans son Journal où il consignait pourtant toutes les rencontres... Fatigue de Léautaud ?
RépondreSupprimerAmi de Léautaud? qui dans son Journal vitupère les Juifs avant et pendant l'Occupation, les rendant responsables de la défaite...Mais c'était un Journal intime...
En 1998, année de la chanson Ferdinand, Pierre Perret a reçu le grand prix de la LICRA.
Et puis, il a préfacé sans dégoût un livre d'extraits du Journal de Léautaud, extraits bien choisis.
Tonton Archibald se cache sous quel nom ?
Au moins Pierre Perret a le mérite de chanter et de proclamer ses positions envers Céline. Il le fait, semble-t-il, avec sincérité. Donnons-lui au moins ce bénéfice du doute.
RépondreSupprimerOui, comme faux cul on ne fais pas mieux ! Quand a ses chansons de demago, elle n'ont plus rien a voir avec la qualité de celles qui ont fait son succes....Perret aurait il perdu humour et inspiration, pour n'avoir plus que des purges aux textes digne d'un rimailleur sans finesse a offrir a ses fans. Ou est donc passé le génie du tort boyau et tant d'autres petites merveilles....
SupprimerQuel mérite de composer une chanson contre Céline ? Voie royale ! Sincérité ? Pourquoi pas ? Il est si sympa, Perret... Et il a écrit de si belles chansons. Et si drôles aussi. Bénéfice du doute ? Qui est l'accusé ? Pas Perret ! Né en 1934, Perret avait dix ans en 44, et il a commencé à lire du Céline en 1954, bien averti de la biographie du pamphlétaire. Au temps où il chantait au "Tord Boyaux", restaurant de la rue Saint-Jacques, il proclamait son admiration pour Céline. C'était vers 1955 -1960. Alors ? Alors ? Chercher la femme ?
RépondreSupprimerTiens! J’ignorais l’histoire du prix de la LICRA... Intéressant! En plus que Léautaud disait que : celui qui accepte un prix est une putain! Alors…Une femme, dites-vous? Hum! Le tribunal en tiendra-t-il compte?
RépondreSupprimerPierre PERRET est un arriviste de première catégorie qui sous ses airs bon enfant veut faire passer ses "bonnes idées" anti-racistes à condition de lui rapporter plus d'argent.
RépondreSupprimerMais il ne veut surtout pas que cette mixité sociale lui soit infligée.
Sa chanson est nulle en tout cas, aussi bien l'air que les paroles.
RépondreSupprimerPierre lute contre tous RASCISME!
RépondreSupprimerÇa ne vole pas très haut... Plutôt décevant de sa part...
RépondreSupprimerIl y avait les procès de sorcellerie. Il y a maintenant les procès en tartufferie. C'est le même puritanisme à la base.
RépondreSupprimerIl y a des gens qui se font des sous ou du pouvoir en touillant dans le purin du «c'est toujours la faute des autres», c'est si facile. Pierre Perret aurait-il dû, chaque fois qu'il faisait une chanson sympa, reverser ses droits à une organisation charitable?
Pas sympa, Pierre Perret? C'est vrai qu'il a cafardé le chanteur des Platters qui exigeait, vers 1960, une jeune fille dans son plumard chaque nuit durant une tournée en Afrique du Nord («Laissez chanter le petit», 1989, Lattès). Par racisme, ou parce qu'il était choqué de ce genre d'abus de pouvoir? Il a tout de même chanté «Estelle» en 1979, à un moment où les LGBT n'avaient pas vraiment la cote.
Je ne connais pas personnellement ce chanteur, qui n'est pas non plus mon chanteur favori (loin s'en faut, son argot me semble un peu de pacotille), mais les procès doivent être bien instruits, sinon c'est de la calomnie. Une journaliste, Sophie Delassein, l'a appris à ses dépens.