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samedi 25 juin 2011
Voyage au bout de CÉLINE (documentaire, 2011)
Documentaire Voyage au bout de Céline diffusé jeudi 23 juin 2011 sur France 5, réalisé par Jean-Baptiste Pérétier. 52 minutes. Avec Henri GODARD, Yves BUIN, Yves PAGES, François GIBAULT, Jean-Pierre MARTIN et Michel WINOCK.
Je découvre Yves Pagès... les grimaces et les bruits de bouche, sautiller sur place... il a autorité dans le milieu célinien (que je ne connais pas) ?
La première réaction est d'avoir envie de l'étrangler et puis on se dit qu'il a peut-être un grain et on prend pitié. Je suis gêné pour lui. Il gâche par sa présence le reportage déjà très orienté dans la bienpensance.
"très orienté dans la bien pensance" ? Pas si sûr. Et pourquoi ?
Il est, dans ce documentaire, fait état de l'antisémitisme de LFC. Et alors ? La balle serait plutot dans le camp des "Céliniens" qui pleurnichent et minaudent, le benne sur les pompes. Les Céliniens sont dans le deni car leur rêve secret est de faire entrer LFC dans la normalité ; tiens, on dirait du François Hollande. Mais pourquoi vouloir à tout prix adoucir, justifier, occulter l'antisémitisme de LFC ? Pour plaire à qui ? Pour faire passer LFC sous les fourches caudines du politiquement correct ? Mais il n'y passera jamais, car les censeurs et les bien pensants feront toujours "peuh-peuh" en nous bégayant des relents, des fourgons, des salauds, des "le livre me tombe des mains " et autres. LFC n'a pas a être adouci ni justifié : Il est ; c'est tout ; dans son génie, dans son talent. Et puis il est antisémite ; voilà. C'est pas grave, c'est comme ça ; c'est dégeulasse, c'est violent son antisémitisme ; oui. Mais c'est écrit. Donc le Père Céline il est a prendre en entier, tel qu'il est.
Céline, quand on l'apprécie on doit l'assumer ; en entier. C'est ça être célinien. Acceptons et assumons sa part dégeulasse ; il l'assumait bien, lui.
Je découvre Yves Pagès... les grimaces et les bruits de bouche, sautiller sur place... il a autorité dans le milieu célinien (que je ne connais pas) ?
RépondreSupprimerLa première réaction est d'avoir envie de l'étrangler et puis on se dit qu'il a peut-être un grain et on prend pitié. Je suis gêné pour lui. Il gâche par sa présence le reportage déjà très orienté dans la bienpensance.
"très orienté dans la bien pensance" ? Pas si sûr. Et pourquoi ?
RépondreSupprimerIl est, dans ce documentaire, fait état de l'antisémitisme de LFC. Et alors ? La balle serait plutot dans le camp des "Céliniens" qui pleurnichent et minaudent, le benne sur les pompes. Les Céliniens sont dans le deni car leur rêve secret est de faire entrer LFC dans la normalité ; tiens, on dirait du François Hollande. Mais pourquoi vouloir à tout prix adoucir, justifier, occulter l'antisémitisme de LFC ? Pour plaire à qui ? Pour faire passer LFC sous les fourches caudines du politiquement correct ? Mais il n'y passera jamais, car les censeurs et les bien pensants feront toujours "peuh-peuh" en nous bégayant des relents, des fourgons, des salauds, des "le livre me tombe des mains " et autres. LFC n'a pas a être adouci ni justifié : Il est ; c'est tout ; dans son génie, dans son talent. Et puis il est antisémite ; voilà. C'est pas grave, c'est comme ça ; c'est dégeulasse, c'est violent son antisémitisme ; oui. Mais c'est écrit. Donc le Père Céline il est a prendre en entier, tel qu'il est.
Céline, quand on l'apprécie on doit l'assumer ; en entier. C'est ça être célinien. Acceptons et assumons sa part dégeulasse ; il l'assumait bien, lui.
Allez, sans rancune.
Figaro