Cinq ans après la mort de l'écrivain, en juin 1966, Henri Guillemin consacre une de ses conférences télévisées à Louis-Ferdinand Céline. Le critique s'attache à disculper cet auteur devenu paria en raison de son antisémitisme vociférant. Il met en lumière le style de Céline, son écriture jubilatoire et les étincelles de poésie dans la noirceur de ses récits mais surtout Henri Guillemin évoque l'homme, sa profondeur, sa sensibilité :
Henri GUILLEMIN commente Nord (1960) :
Comme quoi le Suisse peut être aussi tartufiard que le Belge. À quand Bickler? (L'Alsacien est un Belge qui n'a pu arriver en Suisse.)
RépondreSupprimerTiens, voilà un « anonyme » qui ne manque pas de culot, puisqu’il nous explique ce qu’est un Belge, un Suisse, un Alsacien. Il oublie juste de dire ce qu’est un « Anonyme » : je vais le lui dire : c’est quelqu’un qui n’a pas assez de couilles pour dire : qui il est, et d’où il est.
RépondreSupprimerLibre à M. Gadret de continuer à publier des « anonymes », mais, pour ma part, je renonce désormais à mettre une cédille sur son blog.
Je ne veux pas écrire à la légère, comme font trop d’anonymes. Je signe mes textes : qu’ils fassent pareil. On n’est plus en 1940-1944, années bénies pour des milliers d’anonymes qui ont dénoncé leur voisin, ou leur patron, avec la bénédiction de la Kommandantur, qui n’en demandait pas tant. Est-ce que « Le Petit Célinien » est une Kommandantur 2011, qui accueuille tous les écrits, d’où qu’ils vinssent, et se calfeutre derrière... quoi, au juste ?
RépondreSupprimerVous « filtrez » les messages ? Eh bien, filtrez, M. Gadret ! Filtrez ! Dehors, les « anonymes » ! Qu’ils se découvrent. Soyez à la hauteur : quand on écrit, on signe.
A Thyssens
RépondreSupprimer"quand on écrit, on signe." : je souscris entièrement. C'est la moindre des choses. "Anomyme" a, en effet, ce côté lâche et veule des lettres du même nom (surtout que rien mais absolument rien n'interdit de signer au moins d'un pseudo !). Mais bon, ne quittez pas le blog pour autant (bien que je comprenne parfaitement que cela puisse être une question de principe), ce serait leur donner raison, aux ânes-onymes ! (ou à l'âne-onyme ! peut-être est-il une seule et même personne à tout ne pas signer !)
A Jacques Razu
RépondreSupprimerJe me suis emporté, comme trop souvent. Je ne veux aucun mal à Matthias Gadret qui fait un beau travail, à la hauteur de celui qu’accomplit mon ami Marc Laudelout depuis des années. Simplement, j’aimerais que les textes polémiques fussent signés. C’est trop facile d’incendier un blog en signant « Anonyme ». Trop d’anonymes, partout sur le Net, qui ne cessent de déverser leur bile, sans le moindre inconvénient. Je le fais aussi (et je m’en veux ensuite), mais au moins, j’ai signé mon forfait.
Cher Monsieur Thyssens,
RépondreSupprimerJe peux comprendre votre agacement devant tant de bassesse. Mais comme le fait justement remarquer Monsieur Razu, le commentaire en question est l'oeuvre d'un âne-onyme. Il convient par conséquent de faire preuve de hauteur - légèreté ? -et de l'ignorer.
Je trouve néanmoins que vous faites preuve d'indélicatesse à l'égard de la personne qui fait vivre ce site, que vous sortez de l'anonymat sans ménagement, avec malice serais-je tenté de dire. Je suis persuadée que cette personne, dont j'ai découvert l'identité grâce - à cause ? -de vous, ne mérite en aucun cas ce véritable coup de poignard.
Sa position ne doit pas être facile. On crie au scandale quand il filtre sur un site consacré à Céline. On l'assassine lorsqu'il ne censure pas des propos méchamment gratuits, commentaires qui ont le démérite d'être anonymes.
Il existe par ailleurs bon nombre de raisons pour ne pas divulguer son identité : un anonyme n'est pas toujours un pleutre ou un méchant homme. Permettez-moi de vous dire, cher Monsieur, que vous allez vite en besogne en mettant tous les anonymes dans le même panier. Ce raccourci est un mauvais procédé...
Ce site est une bénédiction pour les amateurs de l'oeuvre célinienne et/ou de Céline. Laissons de côté les mauvaises langues et partageons quelques moments de convivialité, entre gens de bonnes compagnie. Il serait dommage que des voyageurs passionnés ne sabordent le Petit Célinien pour des raisons qui n'en valent pas la peine. Voguons...
A Thyssens,
RépondreSupprimerJe pense aussi qu'il y a trop de personnes qui utilisent l'anonymat sur ce blog, mais ne le quittez pas, votre contribution et vos connaissances sont nécessaires au débat célinien...les autres on n'en a pas besoin !
L'équilibre est bien difficile à trouver : trop de censure pour les uns, pas assez pour les autres. J'essaie de faire pour le mieux.
RépondreSupprimerJ'espère en tous cas, Mr Thyssens, lire vos commentaires encore très longtemps...
Chère Madame Immelmann,
RépondreSupprimerVous me faites un bien curieux procès, et tout à fait inattendu. Nous ne sommes pas sur « F. de Souche », où tous les collaborateurs sont volontairement anonymes. A ma connaissance, « Le Petit Célinien » est géré par quelqu’un qui ne cache pas son nom. Simplement, vous l’ignoriez. Si son patronyme devait être tenu secret, je me serais abstenu de le dévoiler. Mais nous pouvons aussi lui poser la question : ai-je fait preuve d’indélicatesse en dévoilant votre nom, cher Petit Célinien ? Vous ai-je poignardé ?
Nous ne sommes plus en guerre, chère Madame, que diable : on peut encore signer de son nom les textes qu’on publie. Cette hantise de l’anonymat me sclérose. Sachant que Google n’efface rien, je dois avoir accumulé, en dix ans, de quoi m’envoyer dix fois en prison. Au moins, je n’irai pas à la place d’un autre. J’écris, persiste et signe : je m’appelle Thyssens.
Cher Monsieur Thyssens,
RépondreSupprimerLe gestionnaire du site ne cache pas son nom, certes. Mais il ne l'affiche pas non plus. Je respecte, sans les connaître, les raisons qui le poussent, peut-être, à mettre en avant « Le Petit Célinien » plutôt que sa personne. Je crois seulement qu'il ne faut pas, comme vous l'évoquez en amont, "écrire à la légère", surtout sous l'effet de la colère.
C'est juste un avis.
Rien ne justifie par ailleurs le procès intenté contre des visiteurs qui, crétins ou pas, désirent s'abriter derrière l'anonymat. Nous ne sommes plus en guerre, naturellement. Mais je peux comprendre qu'avec un sujet tel que Céline, certains puissent vouloir minimiser les risques, réels ou non. Tout le monde n'a pas votre conception de l'engagement, ou les moyens de l'avoir.
J'ai beaucoup de respect pour votre travail, fort méticuleux, scientifique et pérenne. J'apprécie la plupart des commentaires que vous rédigez pour « Le Petit Célinien » : ils sont très souvent pertinents et apportent un plus indéniable au site. Je suis néanmoins surprise par le ton péremptoire qu'il vous arrive parfois d'employer, alors que rien ne semble le justifier. Rien de grave, bien entendu. Vous avez de la personnalité, qui pourrait le nier ? Cependant, les opinions qui sont les vôtres, au sujets des qualités intrinsèques d'un bon lecteur ou sur la virilité des anonymes par exemples, aussi respectables soient-elles, n'ont pas à être partagées par tout à chacun. Et encore moins imposées aux lecteurs, voire à l'artisan du site. C'est le coup du marteau et de la cédille, si vous me permettez ce mauvais jeu de mot. Vous employez également une certaine forme de chantage - caprice ? -, un procédé pas très noble...
J'espère ne pas avoir été désobligeante à votre égard. Cette petite intervention - veuillez pardonner mon français bafouilleur ! - n'est pas à prendre pour une marque d'irrespect, bien au contraire. J'éprouve énomément de plaisir à consulter les articles du « Petit Célinien », ainsi que les commentaires. Ces derniers sont parfois merveilleux (Eric Mazet, et d'autres), souvent intéressants, drôles... ou stupidement hostiles. En un mot : hétéroclites ! C'est la sève sous l'écorce. Je regrette par ailleurs la disparition de certains commentateurs, comme ECG par exemple. Mais je guette attentivement les interventions de Monsieur Razu, toujours vives et pleines d'entrain.
J'envie cette vitalité, croyez-moi. La vie s'étiole, Monsieur Thyssens. Mais il me reste un peu de sève sous l'écorce, Monsieur Thyssens, un peu de vie...
Très cordialement.
Oh mais, je trouve que vous ne manquez pas de sève, chère Madame, pour m’envoyer cette fessée, sûrement bien méritée. Je vais veiller, je vous le promets, à surveiller mon langage, et à baisser le ton, trop péremptoire. Cela dit, Matthias Gadret, chef du site, ne m’a pas encore censuré, et, je vous l’assure, cette question du patronyme m’interloque. J’ai, moi aussi, un site qui s’appelle « Robert Denoël, éditeur », et je m’efface derrière mon sujet. Mais je signe mon travail.
RépondreSupprimerIl n’y a pas de sujet qui fâche : il n’y a que des fâchés, ou des fâcheux. J’ai choisi Denoël, j’aurais pu prendre Octave Feuillet. Affaire de tempérament. Laissez-moi encore un peu utiliser la sève qui me reste. Moi aussi, je m’étiole, vous savez, « les parques me grattent le fil », comme l’écrivait un certain, et j’essaie de mener à bien ma petite entreprise. Entretemps, je balance quelques vannes, juste pour me prouver que j’existe. Soyez indulgente, mais restez attentive. Au prochain dérapage, je compte sur vous pour me remettre au pas.
Vos yeux pétillent, cher Monsieur Thyssens. Vous êtes un malicieux personnage...
RépondreSupprimerA Mathilde Immelmann
RépondreSupprimer"Mais je peux comprendre qu'avec un sujet tel que Céline, certains puissent vouloir minimiser les risques" : votre remarque est très pertinente. Toutefois, cela ne justifie pas le recours à l'anonymat mais bien, plutôt, au...pseudonymat ! ce qui est la moindre des choses sur un site consacré à un auteur qui a publié toute son oeuvre sous le pseudonyme de "Céline" . Le pseudonyme est un paravent commode autant qu'une signature, tout à fait dans notre tradition littéraire et artistique . Alors, anonymes du "Petit Célinien" ! Encore un effort pour vous forger un chouette pseudo !
Cher Monsieur Razu,
RépondreSupprimerPermettez à la vieille dame que je suis de vous complimenter. Cette légèreté de ton qui caractérise vos commentaires apporte une saveur exquise aux messages que vous écrivez. C'est toujours un plaisir de vous découvrir très régulièrement sur ce site, vous et vos petites subtilités savoureuses, parfois un tantinet facétieuses... comme toutes les bonnes sucreries acidulées, me direz-vous ! Vous semblez en tout cas vous divertir superbement !
Pour ce qui est de l'anonymat, chacun fera comme bon lui semble, fort heureusement.
Pour en revenir au cas qui nous intéresse, et contredire ainsi Henri Guillemin, je lisais ce matin l'excellente postface à l'édition 2001 de la biographie de Philippe Alméras, Céline entre haines et passion. L'auteur, qui ne manque pas de sève, n'y va pas de tendre main. Le Petit Célinien, si ce n'est déjà fait, pourrait peut-être reproduire ce document en intégralité tant il peut provoquer de débats.
Une phrase parmi tant d'autres : « Il semble bien que son style fait de crudité drolatique, parigote et montmartroise lui a seul épargné toute implication directe dans les événements de l'Occupation. Les occupants étaient choqués et les Français ne le prenaient jamais tout à fait au sérieux. Ce qui est exagéré ne compte pas. »
Je pense très humblement que le travail effectué par Monsieur Alméras, depuis fort longtemps déjà, n'est pas suffisamment estimé à sa juste valeur par les Céliniens, professionnels, ou non. Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire... et rendre à César ce qui appartient à César.
Très cordialement.
Voilà une idée que la reproduction de cette postface à l'édition de 2011...
RépondreSupprimerA Mathilde Immelmann
RépondreSupprimerChère Madame,
Merci tout d'abord pour vos compliments qui me touchent beaucoup.
"Pour ce qui est de l'anonymat, chacun fera comme bon lui semble, fort heureusement". Vous avez raison : le pseudonymat, pour moi, était juste une recommandation.
En revanche, je serais moins indulgent pour la phrase de Philippe Alméras (que je connais par ailleurs pour son "Dictionnaire Céline"). Je pense que la réédition et publication de pamphlets antisémites en pleine Occupation, lorsque les Juifs font l'objet d'une persécution policière et étatique en règle, est "une implication directe dans les évènements de l'Occupation" au moins moralement. "Ce qui est exagéré ne compte pas" est précisément le genre de lieu commun lénifiant tout juste bon à consoler le pauvre Talleyrand mortifié par Napoléon. Ce qui fait la force _et l'impact_ du pamphlet, son intérêt et sa qualité hautement littéraire pour les plus doués d'entre les pamphlétaires, c'est précisément l’exagération, l'hyperbole, l'invention verbale, la radicalité sans concession ; autrement dit tout ce qui en fait une écriture sortant de l'ordinaire, une écriture hors-norme. Tout ce qui est exagéré est hautement signifiant (au sens que les sémiologues donnent à ce terme) au contraire, c'est à dire révélateur d'une époque, de ses angoisses, de ses phobies, de ses haines aussi malheureusement. C'est pour cela d’ailleurs que tous les régimes en place ont poursuivi et condamné les pamphlétaires qui ne servaient pas leurs intérêts ("Les Beaux-Draps", par exemple, n'est pas interdit par Vichy pour son antisémitisme mais pour les propos sarcastiques que Céline tient sur l'armée française de la débâcle ; en revanche, les Boches en zone occupée n'y trouvent strictement rien à redire et pour cause). Le pamphlétaire est généralement dans la position de la dénonciation, de la satire (mettre les rieurs de son côté) et de la critique la plus légitime, mais parfois aussi de la haine d'autrui. Et c'est là, malheureusement, la pendable "espèce inhumaine" étant ce qu'elle est, que l'exagération a le plus fort impact, surtout lorsque les circonstances historiques s'y prêtent. Dans ce genre de contexte (chasses à l'homme, progroms, boucs émissaires...), tout ce qui est exagéré, et plus particulièrement ce qui excite à la haine raciale, compte double et même triple. Lorsqu'une puissance politique (ici les nazis) organise et planifie méthodiquement cette haine raciale à l'échelle de tout un continent, alors la verve pamphlétaire lui donne un écho _et une caution_ insoupçonné.
Je ne crois pas, enfin, que la prose antisémite célinienne choquait tant que ça les occupants (et leurs séides français) quand un Julius Streicher, par exemple, vomissait périodiquement et à grand tirage en Allemagne nazie les mêmes imprécations antisémites ( mais avec moins de talent sans doute...). De même, lorsque les nazis traduisent "Bagatelles" en allemand, ils laissent consciencieusement tout ce qui vise les Juifs mais censurent scrupuleusement tout ce qui attaque les "aveulis avinés aryens" (car il n'y a pas que de l’antisémitisme dans "Bagatelles"...). Goebbels, "expert" s'il en fût, était, lui, d'un autre avis que Philippe Alméras : plus c'est gros, plus ça bourre bien le crâne (je vous renvoie aux excellents ouvrages de Jacques Ellul ou de Noam Chomsky sur le conditionnement par la propagande et le mensonge).
Bagatelles un livre incroyable!!!!!
RépondreSupprimerje me demande ou céline allais chercher tout ça.
la Bio de Almeras est elle une bonne bio?
si une personne la lu, merci de me dire, j´aimerai l´acheter.
Cher Monsieur Razu,
RépondreSupprimerMonsieur Yves Pagès, dans un article du Télérama hors série consacré à Céline, ne dit pas autre chose : « Il fut pendant l'Occupation un des plus efficaces pousse-au-crime du régime en place, un compagnon de lutte certes turbulent, mais dont les excès de langage ont joué un rôle non négligeable, sa gouaille servant de caution populacière aux vichystes bon chic bon genre et son humour prêtant à ses appels au lynchage un ton farcesque déculpabilisant. » Soit.
Emile Brami, dans sa biographie consacrée au « contemporain capital » (Le Cahier jaune), estime que « désormais et pour quatre ans, Céline donne la leçon ». Soit.
Mais qui dit vrai ? Qui détient la vérité ? Bien heureux qui pourrait répondre à ces interrogations. Ne comptez pas sur moi, je ne suis plus assez jeune pour avoir cette prétention…
Je vous invite néanmoins à consulter la formidable postface de cette réédition. Vous pouvez la trouver dans le premier numéro de la revue Spécial Céline.
Je fais le pari que ce document vous donnera envie de lire cette biographie non autorisée : « Attention, c'est le Céline total et non retouché que propose ma biographie », dixit Philippe Alméras, auteur modeste.
Et pour mettre l'eau à la bouche de KarlBar : « Le style joue chez lui le rôle de la voilette des jolies femmes de son temps, elle attire l'attention et elle dissimule les cicatrices de l'âge, c'est la dentelle de Garance en grande dame dans la loge des Enfants du paradis. »
Vous dire si cette biographie est bonne ? Multipliez les angles de vue, lisez, sans ordre de préférence : Alméras, Brami, Gibault, Alliot, Vitoux, Godard… et autres Céliniens en herbe. Beaucoup de plaisir en perspective ! Mais de réponse à votre question, j’en doute. Tout au plus trouverez-vous certains textes plus accrocheurs que d'autres, tandis que certaines lectures vous conforteront dans l'idée que vous avez de Céline.
Tournez les pages, cher pseudonyme (pardonnez-moi cet écart de langage, il s’agit d’un clin d'œil à Monsieur Razu).
Très cordialement.
Vous etes charmante Mathilde...vous ecrivez bien comme une prof de Français sans faute,moi j´ecris comme je peu...j´ai raté l´ecole...c´est pas grave...toute façon nous ratons tous notre vie...merci pour l´info sur la bio de Almeras je pense que je vais acheter...il traite pas mal des pamphlets je crois.Celine etait impossible a ciblé...j´ai re-ecouter l´interviouve ou il dit qu´il aurait jamais divorcer se sa femme alors que nous avons une lettre terrible d´une violence et mechanceté inoui ou il prie sa femme de le laissé vivre avec sa liberté...sacré celine!!!
RépondreSupprimerCe qui enerve le lecteur c´est que nous aimerions savoir vraiment le font de la penser de celine...qu´il arrete d´etre malin et se foutre de l´autre...lire celine ça peu rendre fou..faut faire gaffe!!!!!
En tout cas je pourrai plus vivre sans lire celine.
Encore merci Mathilde...et les celiniens.
Il semble, Karlbar, que cette méchante lettre ait été imposée à Céline pour justifier la demande de divorce faite par sa belle-famille. Lucette Almanzor l'a confirmé : Céline ne voulait pas divorcer. Il le dit également dans l'entretien radiophonique accordé à J. Harribaude à la fin de sa vie. Ne lui en veuillez donc pas...
RépondreSupprimerMerci pour la verification de la source...c´est vrai que signé anonyme c´est facile...au moins donne toi un pseudo...ce serai plus sympa.
RépondreSupprimerMoi meme c´est un pseudo...qui a une signification mais je suis le seul a la connaitre.
etant donné qu´il y a plusieurs anonyme, on c´est pas si c´est la meme personne qui ecrit.
Alors s´il vous plait trouver vous des pseudo sympa...ardi petit...au travail.
D'accord. Je suis Célimène
RépondreSupprimerMerci au Petit Célinien de permettre aux zAnonymes de sévir parmi ces déclarations d’amour. zAAAnonyme a dit : on l’aura la Société transparente, on l’aura la Société TRANS PA RENTE …totalitaire. Mea-culpa.
RépondreSupprimerQuestions d'un anonyme :
RépondreSupprimerLes bâtisseurs de cathédrales, y signaient leurs cailloux ?
Qu'est-ce qu'il a écrit Thyssens qui méritait dix fois la prison ?
Alméras, c'est pas "je je je moi moi moi - l'prem ka dit ! moi moi moi je je je ? qui répète toujours la même chose et qui noircit Céline tant qu'il peut ? sans nuance, sans hauteur, sans recul, tout en couilles, fort des halles, et tatoué ? comme à la cour de la récrée, encore à l'école, toujours râlant au dernier rang où il s'est mis le prem ?
Karibar, lisez plutôt Godard : vous aurez le pour et le contre. Vous gagnerez du temps, et c'est plus précis qu'Almérace.
A Anonyme 15 août 16:46
RépondreSupprimerOui les bâtisseurs de cathédrale signaient leurs cailloux : ils gravaient dans la pierre un signe distinctif de leur corporation ou de leur atelier, leurs initiales, voire leur nom entier. Pour la postérité. Quant à la postérité contemporaine...Elle ne durera pas 1000 ans ça c'est sûr !