Le Courrier des Yvelines, hebdomadaire du Nord-est des Yvelines, consacre, dans ses pages été du mois d'août 2011, une série de cinq articles à Louis-Ferdinand Céline. Voici le dernier texte paru dans le numéro du 31 août.
Le biographe yvelinois de Céline, David Alliot, qui a apporté son expertise à notre série sur le parcours de l'écrivain en Seine-et-Oise, les Yvelines d'aujourd'hui, a cosigné en 2008, avec Daniel Renard, une histoire de Céline à Bezons pendant l'occupation. Une source riche.
Réformé à 70% à cause de ses blessures de la Première Guerre, Céline n'est pas mobilisable en 1939. En octobre, il effectue quelques vacations au dispensaire de Sartrouville avant de s'engager, le 1er décembre 1939, comme médecin à bord du Chella, paquebot qui dessert la ligne Marseille-Casablanca (1). « Tout se passe bien jusqu'au soir du 5 janvier 1940. Dans la nuit du 5 au 6, le Chella épronne un aviso britannique, le Kingston Cornelian. Les dégâts sont considérables, on dénombre de nombreux morts et disparus. Le Chella manque également de sombrer. (...) Après quelques jours de navigation le long des côtes espagnoles, il rentre à Marseille où il est mis en cale sèche. En attendant la fin des réparations, Céline regagne Paris et espère réembarquer le plus vite possible. Mais les travaux durent plus longtemps que prévu, et les événements ne lui en laissent pas le temps. Le 2 juin 1940, à peine réparé, le Chella est détruit par des bombardiers allemands... », raconte David Alliot dans Céline à Bezons (2).
Rendu bien malgré lui à l'inactivité, Céline reprend, pour quelques temps, les fonctions de médecin-chef au dispensaire de Sartrouville, en remplacement du docteur Dubroca, mobilisé. Deux de ses assistantes au dispensaire témoignent.
Sartrouville pour l’exode
Elles décrivent sa personnalité ainsi que sa mise singulière : « Il a dû venir en 1940, juste pour faire l'exode. Le docteur Destouches, Louis Destouches, une espèce de grand type, des grands membres... - Il était très gentil du reste. - Des grands yeux bleus. Très sympathique, très avenant, très simple, foutu comme l'as de pique, des godasses fallait voir comme... Ça n'était pas le type à “faire des magnes” (3), comme il disait. Un veston, toujours le même ! Il était propre... heureusement qu'il y avait les blouses blanches pour les médecins ! Il était propre si vous voulez, mais il avait une espèce de dégaine alors, fallait voir ! Il avait toujours de gros croquenots... - Il aurait aussi bien pu aller à la cloche quoi ! (...) ». Elles poursuivent ensuite sur les qualités professionnelles du médecin : « Les malades l'aimaient bien. Au point de vue médical, c'était pas un aigle, mais il les soignait aussi bien que les autres. Oh ! Il se cassait pas la tête ! (...) - A Sartrouville, de temps en temps, il me foutait la trouille, quand il y avait de grands malades... - Il en a jamais tué ! - C'est moi en douce, dans le couloir, qui leur disais d'aller prendre une consultation à un spécialiste. » L’activité médicale et la relation avec le patient nourissaient Céline l’écrivain : « Il allait pas déjeuner au restaurant ni rien, il allait acheter un casse-croûte... Un petit pain, une tranche de jambon, et puis s'il faisait beau, il se mettait dehors sur le banc, il cassait la croûte, et il écrivait. S'il faisait mauvais, il rentrait dans la salle de consultation, il écrivait, il écrivait, il écrivait (...) » (4) Le 10 juin 1940, le maire de
Sartrouville ordonne l'évacuation d'une partie de la population.
Céline passe la Seine
Par deux fois, depuis sa démission du dispensaire de Clichy (6), Céline se retrouve sans emploi. On sait que depuis son départ de Saint-Germain-en-Laye, et après son expérience satrouvilloise, le médecin peine à s'établir. Depuis 1937 et son départ de Clichy, Céline vit tant bien que mal de ses droits d'auteur, même si les deux pamphlet Mea Culpa et Bagatelles pour un massacre se vendent bien (7). La période de l'occupation et les lois raciales en vigueur sous Vichy créent aussi les circonstances pour celui qui est devenu le chantre de l'antisémitisme. L'occupant et les collaborateurs n'ont rien à refuser à Céline. Il apparaît aux seconds comme celui qui a tout prédit dans le second pamphlet. « C'est probablement par des amis bien en cour auprès de l'administration que Céline apprend qu'un poste se libère au dispensaire de Bezons », écrit David Alliot.
Il flatte Vichy
Le 16 juillet 1940 est promulguée la loi interdisant la médecine aux praticiens étrangers, à ceux qui avaient acquis la nationalité française depuis 1927, et ceux, qui, bien que nés en France, étaient issus de père étranger. De nationalité haïtienne, le médecin du dispensaire de Bezons, le docteur Hogarth, ne peut plus pratiquer la médecine. La place est libre pour le docteur Destouches, certain cette fois d'assurer durablement sa stabilité matérielle. Le 27 octobre 1940, un courrier, adressé au président de la Délégation Spéciale de Bezons, Frédéric Empaytaz, un fonctionnaire adoubé par Vichy qui fait fonction de maire, atteste des démarches de Céline pour obtenir le poste : « Monsieur le Président, écrit Céline, En suite à notre conversation de l'autre jour et à ma candidature de médecin au dispensaire de Bezons, je me suis rendu ce matin à Versailles où j'ai été reçu par Monsieur Branqui (8), directeur des services de Santé. Il m'a semblé que la place serait en effet prochainement vacante, il m'a paru ensuite que M. Branqui était en principe favorable à ma candidature (...) » A cette offre manuscrite, Céline joint son “curriculum vitae”. La candidature de Louis-Ferdinand Céline au poste de médecin au dispensaire de Bezons rencontre un écho favorable auprès des autorités, qui font même rapidement pression pour agréer cette nomination. La note de l'administration de Vichy est complétée par cette mention : « Le poste de médecin du Dispensaire Municipal de Bezons (Seine-et-Oise) est actuellement occupé par un médecin étranger juif (9) non naturalisé. En vertu des récents décrets, ce médecin doit être licencié. » Mais la nomination de Céline traînant, Céline se fend d'une autre lettre au directeur de la Santé à Paris, le 5 novembre 1940, où il mentionne les réticences du Président de la Délégation Spéciale de Bezons, et où il n'hésite pas à flatter l'idéologie du nouveau régime : « Vous le savez sans doute, j'ai jeté mon humble dévolu sur le poste de médecin du dispensaire de Bezons (Seine-et-Oise) actuellement occupé par un nègre haïtien et sa femme. Ce nègre étranger doit normalement être renvoyé à Haïti - d'après les lois nouvelles en vigueur. (...) Je serais heureux de ne point perdre tant de temps sur moi même et je serais bien aise si vous pouviez me trouver une petite subvention obscure dans un des innombrables emplois de médecin à votre disposition - (et que tous les juifs et maçons médecins ne comblent peut-être pas définitivement)... » Le 21 novembre 1940 par arrêté du président de la Délégation Spéciale, Céline est finalement nommé médecin stagiaire au dispensaire et obtient le statut de fonctionnaire municipal. Titularisé au bout d'un an, il perçoit 36 000 francs par an. Son but est atteint. Sur la foi d'attestations de sa non-appartenance aux loges maçonniques, Céline est même nommé médecin à l'état-civil, puis médecin légiste en décembre 1940. Ces faveurs vont sans doute au-delà de ses espérances. Mais à Bezons, cette nomination passe mal, la réputation sulfureuse de l'écrivain - Bagatelles pour un massacre lui avait déjà valu une condamnation en 1939 - et ses supposées affinités avec le régime de Vichy, sont mises en cause. Ville communiste depuis 1920, mais soumise désormais au régime pétainiste, Bezons accueille, contre son gré, l'auteur des pamphlets. Le 17 juin 1944, Céline quitte Bezons pour l’Allemagne pour une autre errance vers l’exil et le Danemark. En 1951, il fait son retour en France pour finir ses jours à Meudon.
Frédéric ANTOINE, avec les conseils de David Alliot
Le Courrier des Yvelines, 31/08/2011.
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Notes
(1) Lire "Céline dans les Yvelines, Chapitre IV : Saint-Germain, le calme avant la tempête", Le Courrier des Yvelines, édition du 24 août.
(2) David Alliot et Daniel Renard, Céline à Bezons 1940-1945, Editions du Rocher, 2008, p. 60.
(3) Expression argotique signifiant “faire des manières”, “faire des embarras”.
(4) “Le docteur Destouches au dispensaire de Sartrouville, souvenirs de deux assistantes”, Ecrits de Paris, n° 488, mars 1988, p. 59-64, in David Alliot, D'un Céline l'Autre, édution établie et présentée par David Alliot, Préface de François Gibault, Collection Bouquins, Robert Laffont, 2011, p. 614.
(5) Choix de lettres de Céline et de quelques corrrespondants (1907-1961), préface, repères chronologiques, notes par Henri Godard, La Pléaide, Editions Gallimard 2009, p.607.
(6) Céline est contraint de démissionner de son poste de médecin de dispensaire en 1937 après la parution du pamphlet antisémite Bagatelles pour un massacre.
(7) A eux seuls, les pamphlets absorberont 25 % du papier disponible pour les éditions Denoël pendant toute la durée de l'occupation. Pour les Allemands, le papier, denrée rare, est aussi une incitation à collaborer.
(8) Pour Bianchis, nommé à titre provisoire, directeur de la Santé publique de Seine-et-Oise.
(9) Joseph Hogarth était haïtien mais pas juif.
Le biographe yvelinois de Céline, David Alliot, qui a apporté son expertise à notre série sur le parcours de l'écrivain en Seine-et-Oise, les Yvelines d'aujourd'hui, a cosigné en 2008, avec Daniel Renard, une histoire de Céline à Bezons pendant l'occupation. Une source riche.
Réformé à 70% à cause de ses blessures de la Première Guerre, Céline n'est pas mobilisable en 1939. En octobre, il effectue quelques vacations au dispensaire de Sartrouville avant de s'engager, le 1er décembre 1939, comme médecin à bord du Chella, paquebot qui dessert la ligne Marseille-Casablanca (1). « Tout se passe bien jusqu'au soir du 5 janvier 1940. Dans la nuit du 5 au 6, le Chella épronne un aviso britannique, le Kingston Cornelian. Les dégâts sont considérables, on dénombre de nombreux morts et disparus. Le Chella manque également de sombrer. (...) Après quelques jours de navigation le long des côtes espagnoles, il rentre à Marseille où il est mis en cale sèche. En attendant la fin des réparations, Céline regagne Paris et espère réembarquer le plus vite possible. Mais les travaux durent plus longtemps que prévu, et les événements ne lui en laissent pas le temps. Le 2 juin 1940, à peine réparé, le Chella est détruit par des bombardiers allemands... », raconte David Alliot dans Céline à Bezons (2).
Rendu bien malgré lui à l'inactivité, Céline reprend, pour quelques temps, les fonctions de médecin-chef au dispensaire de Sartrouville, en remplacement du docteur Dubroca, mobilisé. Deux de ses assistantes au dispensaire témoignent.
Sartrouville pour l’exode
Elles décrivent sa personnalité ainsi que sa mise singulière : « Il a dû venir en 1940, juste pour faire l'exode. Le docteur Destouches, Louis Destouches, une espèce de grand type, des grands membres... - Il était très gentil du reste. - Des grands yeux bleus. Très sympathique, très avenant, très simple, foutu comme l'as de pique, des godasses fallait voir comme... Ça n'était pas le type à “faire des magnes” (3), comme il disait. Un veston, toujours le même ! Il était propre... heureusement qu'il y avait les blouses blanches pour les médecins ! Il était propre si vous voulez, mais il avait une espèce de dégaine alors, fallait voir ! Il avait toujours de gros croquenots... - Il aurait aussi bien pu aller à la cloche quoi ! (...) ». Elles poursuivent ensuite sur les qualités professionnelles du médecin : « Les malades l'aimaient bien. Au point de vue médical, c'était pas un aigle, mais il les soignait aussi bien que les autres. Oh ! Il se cassait pas la tête ! (...) - A Sartrouville, de temps en temps, il me foutait la trouille, quand il y avait de grands malades... - Il en a jamais tué ! - C'est moi en douce, dans le couloir, qui leur disais d'aller prendre une consultation à un spécialiste. » L’activité médicale et la relation avec le patient nourissaient Céline l’écrivain : « Il allait pas déjeuner au restaurant ni rien, il allait acheter un casse-croûte... Un petit pain, une tranche de jambon, et puis s'il faisait beau, il se mettait dehors sur le banc, il cassait la croûte, et il écrivait. S'il faisait mauvais, il rentrait dans la salle de consultation, il écrivait, il écrivait, il écrivait (...) » (4) Le 10 juin 1940, le maire de
Sartrouville ordonne l'évacuation d'une partie de la population.
Céline passe la Seine
Par deux fois, depuis sa démission du dispensaire de Clichy (6), Céline se retrouve sans emploi. On sait que depuis son départ de Saint-Germain-en-Laye, et après son expérience satrouvilloise, le médecin peine à s'établir. Depuis 1937 et son départ de Clichy, Céline vit tant bien que mal de ses droits d'auteur, même si les deux pamphlet Mea Culpa et Bagatelles pour un massacre se vendent bien (7). La période de l'occupation et les lois raciales en vigueur sous Vichy créent aussi les circonstances pour celui qui est devenu le chantre de l'antisémitisme. L'occupant et les collaborateurs n'ont rien à refuser à Céline. Il apparaît aux seconds comme celui qui a tout prédit dans le second pamphlet. « C'est probablement par des amis bien en cour auprès de l'administration que Céline apprend qu'un poste se libère au dispensaire de Bezons », écrit David Alliot.
Il flatte Vichy
Le 16 juillet 1940 est promulguée la loi interdisant la médecine aux praticiens étrangers, à ceux qui avaient acquis la nationalité française depuis 1927, et ceux, qui, bien que nés en France, étaient issus de père étranger. De nationalité haïtienne, le médecin du dispensaire de Bezons, le docteur Hogarth, ne peut plus pratiquer la médecine. La place est libre pour le docteur Destouches, certain cette fois d'assurer durablement sa stabilité matérielle. Le 27 octobre 1940, un courrier, adressé au président de la Délégation Spéciale de Bezons, Frédéric Empaytaz, un fonctionnaire adoubé par Vichy qui fait fonction de maire, atteste des démarches de Céline pour obtenir le poste : « Monsieur le Président, écrit Céline, En suite à notre conversation de l'autre jour et à ma candidature de médecin au dispensaire de Bezons, je me suis rendu ce matin à Versailles où j'ai été reçu par Monsieur Branqui (8), directeur des services de Santé. Il m'a semblé que la place serait en effet prochainement vacante, il m'a paru ensuite que M. Branqui était en principe favorable à ma candidature (...) » A cette offre manuscrite, Céline joint son “curriculum vitae”. La candidature de Louis-Ferdinand Céline au poste de médecin au dispensaire de Bezons rencontre un écho favorable auprès des autorités, qui font même rapidement pression pour agréer cette nomination. La note de l'administration de Vichy est complétée par cette mention : « Le poste de médecin du Dispensaire Municipal de Bezons (Seine-et-Oise) est actuellement occupé par un médecin étranger juif (9) non naturalisé. En vertu des récents décrets, ce médecin doit être licencié. » Mais la nomination de Céline traînant, Céline se fend d'une autre lettre au directeur de la Santé à Paris, le 5 novembre 1940, où il mentionne les réticences du Président de la Délégation Spéciale de Bezons, et où il n'hésite pas à flatter l'idéologie du nouveau régime : « Vous le savez sans doute, j'ai jeté mon humble dévolu sur le poste de médecin du dispensaire de Bezons (Seine-et-Oise) actuellement occupé par un nègre haïtien et sa femme. Ce nègre étranger doit normalement être renvoyé à Haïti - d'après les lois nouvelles en vigueur. (...) Je serais heureux de ne point perdre tant de temps sur moi même et je serais bien aise si vous pouviez me trouver une petite subvention obscure dans un des innombrables emplois de médecin à votre disposition - (et que tous les juifs et maçons médecins ne comblent peut-être pas définitivement)... » Le 21 novembre 1940 par arrêté du président de la Délégation Spéciale, Céline est finalement nommé médecin stagiaire au dispensaire et obtient le statut de fonctionnaire municipal. Titularisé au bout d'un an, il perçoit 36 000 francs par an. Son but est atteint. Sur la foi d'attestations de sa non-appartenance aux loges maçonniques, Céline est même nommé médecin à l'état-civil, puis médecin légiste en décembre 1940. Ces faveurs vont sans doute au-delà de ses espérances. Mais à Bezons, cette nomination passe mal, la réputation sulfureuse de l'écrivain - Bagatelles pour un massacre lui avait déjà valu une condamnation en 1939 - et ses supposées affinités avec le régime de Vichy, sont mises en cause. Ville communiste depuis 1920, mais soumise désormais au régime pétainiste, Bezons accueille, contre son gré, l'auteur des pamphlets. Le 17 juin 1944, Céline quitte Bezons pour l’Allemagne pour une autre errance vers l’exil et le Danemark. En 1951, il fait son retour en France pour finir ses jours à Meudon.
Frédéric ANTOINE, avec les conseils de David Alliot
Le Courrier des Yvelines, 31/08/2011.
>>> Téléchargez l'article (pdf)
Notes
(1) Lire "Céline dans les Yvelines, Chapitre IV : Saint-Germain, le calme avant la tempête", Le Courrier des Yvelines, édition du 24 août.
(2) David Alliot et Daniel Renard, Céline à Bezons 1940-1945, Editions du Rocher, 2008, p. 60.
(3) Expression argotique signifiant “faire des manières”, “faire des embarras”.
(4) “Le docteur Destouches au dispensaire de Sartrouville, souvenirs de deux assistantes”, Ecrits de Paris, n° 488, mars 1988, p. 59-64, in David Alliot, D'un Céline l'Autre, édution établie et présentée par David Alliot, Préface de François Gibault, Collection Bouquins, Robert Laffont, 2011, p. 614.
(5) Choix de lettres de Céline et de quelques corrrespondants (1907-1961), préface, repères chronologiques, notes par Henri Godard, La Pléaide, Editions Gallimard 2009, p.607.
(6) Céline est contraint de démissionner de son poste de médecin de dispensaire en 1937 après la parution du pamphlet antisémite Bagatelles pour un massacre.
(7) A eux seuls, les pamphlets absorberont 25 % du papier disponible pour les éditions Denoël pendant toute la durée de l'occupation. Pour les Allemands, le papier, denrée rare, est aussi une incitation à collaborer.
(8) Pour Bianchis, nommé à titre provisoire, directeur de la Santé publique de Seine-et-Oise.
(9) Joseph Hogarth était haïtien mais pas juif.
A lire :
>>> Céline dans les Yvelines, chapitre I : le cuirassier Destouches à Rambouillet
>>> Céline dans les Yvelines, chapitre II : A bord de La Malamoa à Croissy-sur-Seine
>>> Céline dans les Yvelines, chapitre III : Médan et l’hommage à Zola
>>> Céline dans les Yvelines, chapitre IV : Saint-Germain, le calme avant la tempête
>>> Céline dans les Yvelines, chapitre V : D'un dispensaire à l'autre (Sartrouville et Bezons)
pas de format PDF cette fois-ci ? Sniff...
RépondreSupprimerUn oubli... je viens de l'ajouter...
RépondreSupprimerEncore un grand merci !!! :)
RépondreSupprimer2020 pdf inaccessible sniff bis
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